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Pendant que les lombalgies valent, tous les ans, plus d’un milliard d’euros à la Sécurité Sociale, l’ordonnance d’un produit thérapeutique antalgique par les spécialistes sanitaires est en augmentation ; ces traitements contre la douleur sont la plupart du temps accompagnés d’essais d’imagerie (Radiographies, IRM, etc. Et si, les traitements non médicamenteux étaient suffisants pour traiter les lombalgies ?) par moment non nécessaires et très chère.

Lombalgie, incidence d’un environnement de travail inadéquat ?

Première maladie liée aux obligations de travail, le contrecoup économique de la lombalgie est en hausse de 54% depuis 1990. Le deuxième post signale l’insuffisance en matière d’investissement dans le développement et l’innovation sur les voies de prises en charge.

Dans cette analyse composée de deux sujets, les responsables attrapent la vigilance sur les facteurs de risques liés aux lombalgies et leur lien serré bien comme il faut avec des éléments psychosociaux et biophysiques.

Une négligence qui va finir par valoir horriblement coûteux à la Sécurité Sociale, dans les nations élaborés et plus précisément pour les malades venus de classes sociales à bas revenu.

L’environnement de travail serait-il la cause de cette hausse ? Et si les traitements non médicamenteux permettaient de réduire avec efficacité les lombalgies et réduisaient l’usage aux arrêts de travail ?

Deux questions auxquelles Stéphanie Clark, Richard Horton et leur encadrement ont essayé d’apporter une réponse via leur analyse « Low back pain » diffusée dans The Lancet.

Donc, les résultats indiquent qu’un environnement de travail inadapté, à propos de fréquemment les postes les moins expérimentés des classes sociales défavorisées, a une utilité central dans l’arrivée de la maladie.

Devant la prise d’antalgique, le sport, clé de l’ensemble des maux

Malgré tout d’après certains spécialistes, une séance de sport régulière et appropriée (ex : marche) participerait à l’atténuation des douleurs lombaires et serait capable de même acquérir plus d’effets avantageux que des antalgiques.

Il serait dès lors préférable de récupérer son activité quand les signes avant-coureurs sont supportables. Mais stopper de travailler, est-ce réellement la bonne solution ?

Dans une seconde partie de l’article Le Pr Nadine Foster indique que pendant visites associées à des lombalgies, seuls 50% des malades américains se voient prescrire des exercices physiques.

Cela permettrait de mieux répondre à cette erreur de santé publique tout en faisant progresser la qualité de vie des malades. L’environnement de travail serait-il la cause de cette hausse ? Et si les traitements non médicamenteux permettaient de diminuer avec efficacité les lombalgies et réduisaient l’utilisation aux arrêts de travail ?

Selon une enquête élaborée par l’OMS, 60% des visites médicales débouchent sur une ordonnance d’antalgique pour raison de lombalgie et une lombalgie sur cinq provoque un arrêt de travail.

L’effet économique de la lombalgie est en hausse de 54% depuis 1990. Donc, éviter la sédentarité est une objectif afin de ne pas maximiser les dangers de difficultés. L’enseignant Foster n’a pas peur de définir l’ordonnance routinière d’antalgique comme une « médiocre pratique » et révèle qu’un tel gâchis sera évité, dans les nations élaborés comme dans ceux modérément élaborés.

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